Retour à l'accueil

 

Retour à l'accueil des maisons

 

 

3 et 3 Bis, rue du Colonel Fabien

 

Jean-Pierre Aubert

Famille Dennery

 

 

 

Coquettes, différentes, sur deux niveaux, mais rassemblées sur 26 mètres linéaires de façade occupant toute la largeur du terrain, elles sont construites ensemble par l’Entreprise Martins du Perray-en-Yvelines, une équipe valeureuse de 5 travailleurs portugais qualifiés qui assument la totalité des travaux.

 

Commencées en 1996, elles sont terminées au début de l’été 1997 et livrées toutes deux, joliment paysagées.

 

Elles appartiennent aux familles Aubert et Dennery, que l’association de la rue du Colonel Fabien est heureuse d’accueillir, au terme d’une longue attente dont nous allons parler.

 

Nous avons demandé à leur jeune architecte, Gilbert Lazare, de Versailles, de bien vouloir présenter son œuvre :

 

“ Ces deux habitations devaient être construites sous la forme d’une seule construction .Le parti à été d’individualiser au maximum ces deux logements sans aboutir à l’aspect de maisons “ jumelles  ”donc en les différenciant au maximum bien qu’en utilisant les mêmes matériaux.

 

La déclivité du terrain, assez importante, a aidé à rythmer la décomposition et de ce fait, à accroitre l’effet de deux maisons bien distinctes.

 

Elles sont réalisées avec les mêmes matériaux; les murs sont recouverts d’un enduit gratté, ton sable agrémenté de joints en creux ou/et panneaux décoratifs. Les appuis de fenêtre ont aspect de pierre, les fenêtres sont en aluminium laqué  blanc avec le côté intérieur en bois, les garde-corps des fenêtres, en métal peint, des volets blancs animent la façade.

 

La toiture est en tuile plate brune régionale. La façade est agrémentée d’ouvertures en œil de bœuf. Elles sont construites en retrait de la rue, donc avec jardinet devant et vaste jardin sur l’arrière, côté le plus ensoleillé. ”

 

Laissez-nous vous raconter l’histoire du terrain sur lequel les deux maisons sont fondées.

 

Pour ne rien oublier, nous rencontrons Mauricette, dans sa demeure toujours accueillante de Cernay-la-Ville. Une foule de souvenirs jaillit dans nos têtes depuis les origines lointaines  de cette terre maraîchère du début du 20° siècle jusqu’au jour où, libre de toute occupation, ce terrain est envahi d’herbes folles, d’où émergent ça et là des arbres fruitiers en fleurs. Il fait alors l’objet de toutes les convoitises des passants qui nous interrogent sur sa destination.

Quand vient le jour où des bruits courent sur sa vente prochaine, nous nous hâtons de fixer sur la pellicule sa beauté insolite avant qu’elle ne disparaisse!

 

Les origines du terrain

 

A partir de 1910, les propriétaires Schneider, Herbron, Moser et Troupin, qui créent le chemin, vendent leurs terrains à des prix abordables. Ernest Boulay, oncle de Mauricette, achète celui-ci de 947 m².

 

Ernest n’a ni le temps ni la santé pour s’occuper de ce terrain, et c’est son frère, Maurice, le papa de Mauricette qui y plante des arbres fruitiers.

 

Ernest meurt prématurément en 1927, et le terrain revient cette fois, non pas à sa compagne,  Fortunée, mais à ses héritiers légaux que sont ses deux frères, Henri et Maurice et son neveu Marcelin.

 

Etant donné que seul Maurice demeure sur place, c’est lui qui continuera de s’occuper du terrain. Il le clôture par une haie de charmille qui résistera jusqu’à son arrachage, lors de  la construction de la voie en 1972. Il est vrai qu’elle sera toujours copieusement arrosée par les eaux pluviales et usées de la famille Lemaire, auxquelles se joignent entre temps, celles de la famille Besnard, grâce au ruisseau maçonné qui vient mourir à ses pieds.

 

La première transformation

 

En 1929, deux ans après leur installation au n° 5, Elie-François et Clémence Besnard (Arrière-grands-parents de François) pensent que ce terrain ferait bien leur affaire, pour agrandir leur domaine et mettre en valeur leur maison

 

Ils en convainquent Maurice et les héritiers d’Ernest, qui le leur cèdent par un acte du 10 mai 1929, devant Maitre Chevalier, notaire à Versailles.

 

Dès lors le verger se complète d’un potager, découpé en 4 carrés de légumes, entouré d’allées de circulation se rejoignant en croix.

 

A cette évocation, Mauricette se saisit spontanément d’un crayon pour dessiner le jardin qui s’intègre parfaitement dans l’ensemble de la propriété. Le potager est séparé du jardin d’agrément par un muret qui soutient les terres en dénivelé, au milieu duquel s’ouvre une entrée en arceau sur lequel, grimpent des roses. Derrière le muret une rangée de poiriers en espaliers sépare utilement les deux parties de la propriété.

 

Claude (papa de François), se souvient d’une petite tonnelle recouverte de troènes, nichée dans le bas du terrain, adossée à la propriété Berton (actuellement B. et S. Clot) dans laquelle le conduisent souvent ses jeux d’enfant.

 

De son côté, Jeanine Zwang, dont le papa a épousé Julienne Berton, et qui a vécu dans la maison paternelle de 1928 à 1935, se souvient qu’une porte est ouverte entre les deux voisins Besnard/Berton, pour faciliter leurs relations amicales.

Après le décès d’Elie-François, survenu brutalement en 1940, peu de temps après la déclaration de guerre qui l’a beaucoup frappé, Désiré, son frère, (arrière-grand-oncle de François) continue d’entretenir le potager pendant  l’occupation, ce qui sera bien utile à toute la famille

 

Ce sont ensuite Andrée, puis Alberte (1) qui entretiendront le potager de Clémence. Son décès en 1964 laisse l’ensemble de la propriété en indivision. Ses deux héritiers, Elie et Auguste, décident de louer la maison et le jardin  d’agrément au N°5, en se conservant la jouissance du potager-verger au N°3).

 

La seconde transformation

 

Celui-ci devient une verte pelouse, où, à l’ombre des arbres fruitiers devenus plantureux, Alice et Auguste Besnard, accompagnés de leur fille Annick, viennent se reposer au cours du week-end. Ils y installent un abri de jardin (qui a encore servi aux ouvriers, auxquels François apporte un café chaud au cours de l’hiver 1996).Il y a aussi une petite chèvre blanche, en céramique, que Mauricette a connue autrefois dans le jardin supérieur ! De son côté, Claude possède une photo prise avec la petite chèvre lorsqu’il était très jeune. Elle dort maintenant au fond du garage de François!

 

En 1972, les consorts Besnard, comme tous les propriétaires du côté impair de la rue du Colonel Fabien devenus membres de l’Association Syndicale Autorisée, se voient amputés d’une part de terre destinée au sol de la rue

 

Si le mur de clôture du N°5 est reconstruit  t la grille d’origine réemployée, il ne peut en être de même pour la jolie haie de charmille du N°3. Afin de soutenir le nouveau trottoir, le directeur, Pierre Caquet, commande à  “ La Colas ”, un muret de soutènement, toujours solide, puisqu’il sert encore aujourd’hui de base à la clôture des nouvelles maisons.

 

Mais, cette année là, il est facile de sauter ce petit muret pour pénétrer dans le terrain, et de gros moineaux viennent y picorer des cerises rouges, malgré les interventions du directeur qui les rappelle à l’ordre. Après ces graves infractions au droit de propriété individuelle, le jardin d’Eden est clôturé et le restera jusqu’à sa mise en vente.

 

La longue attente de la rue

 

Les décès successifs d’Elie en 1980 et d’Auguste en 1990, entraînent la vente du terrain N°3 le 29 novembre 1990 par Maître Bernard Macron de Versailles.

 

La Société en nom collectif “ Immobilière Lucia  et Compagnie ”, dont le siège social est à la Défense, est acquéreur. Celle-ci se met en rapport avec l’Association du Colonel Fabien, car la dernière année de remboursement de l’emprunt étant celle de 1991 une nouvelle répartition des 10.000 èmes s’impose. De son côté, Annick, représentant les consorts Besnard, nous informe du nom du nouveau propriétaire du terrain du N° 3 : Jean Pierre Aubert demeurant 49, rue du Général Gallieni à Viroflay.

 

Autant le nom de la famille Aubert, bien connue à Viroflay nous rassure, autant celui d’une société immobilière nous inquiète.

 

Pendant plus de 5 années, à partir du 29 novembre 1990, nous restons dans l’incertitude du volume de la construction qui va se faire sur ce terrain.

 

Des points de vue s’échangent entre certains habitants (minoritaires) favorables à un petit immeuble à caractère social, s’intégrant bien dans l’environnement (comme à la Ville aux Bois); les autres (majoritaires) estimant que l’implantation d’un immeuble au sein d’un ensemble pavillonnaire briserait de façon irréversible l’harmonie architecturale existante.

 

Finalement, toutes ces craintes disparaissent :au printemps 1996, Jean-Pierre Aubert, qui a toujours entretenu avec l’Association, dont il est membre  à part entière depuis 1990, d’excellentes relations, nous fait part, au cours d’une rencontre à la Ville aux Bois, des plans qu’il vient de déposer en Mairie, en vue d’obtenir le permis de construire de deux maisons conjointes, dont la sienne et celle qu’il met en vente sur plan. Jean-Pierre a, en effet, racheté le terrain à la “ Lucia & Cie ” par un acte du 29 Décembre 1995, devant Maître Macron de Versailles.

 

La maison du n° 3

 

Après l’établissement d’un acte notarié de division du terrain, l’un de 383 m², attribué au n°3, l’autre de 437 m², attribué au n°3bis, en date du 1° Juillet 1996, et l’obtention du permis de construire, le chantier commence. Il reçoit régulièrement la visite de surveillance de Gilbert Lazare qui met un point d’honneur à établir les meilleures relations avec les voisins.

 

Le n°3 est celui de la famille DENNERY.

 

Claire est Pharmacienne - actuellement en congé de mère de famille- Vincent est Cadre Marketing .Ils demeurent en appartement, route des Gardes à Chaville, face à la forêt, mais en bordure d’une route bruyante. Ils sautent sur cette opportunité  de retrouver la forêt sans inconvénient, d’autant qu’ils peuvent, sinon choisir l’extérieur qui leur plaît, au moins décider entièrement des aménagements intérieurs de leur maison.

 

Elle est terminée la première et ils en prennent possession dès fin Avril 1997, avec leurs 2 premiers enfants: Félix, alors âgé de 8 ans et Joséphine 5 ans. Le 17 Juin 1999, la famille et le quartier accueillent une jolie petite fleur du nom de “ Violette ”.

 

Tout ce monde évolue dans un grand espace, meublé avec élégance et simplicité, donnant de plain pied sur la terrasse et le jardin engazonné qui la prolonge, lequel bénéficie lui-même de la verdure et de l’espace des jardins environnants.

Vincent a planté de nouveaux arbres fruitiers (ceux de Maurice Boulay méritent bien des remplaçants !) de plusieurs espèces, ainsi qu’un bambou qui permet de sauvegarder l’intimité des deux plus proches voisins. En quittant la maison, on admire un magnifique Pyrus pendula (poirier d’ornement).

 

La famille s’est très vite intégrée à la vie de la rue, Vincent a été élu au Conseil d’Administration de l’Association à l’Assemblée Générale du 10 Janvier 1998. Il est resté notre secrétaire durant l’année où nous avons préparé notre fête et notre exposition du 26 Septembre, célébrant notre trentième anniversaire. Pour des raisons professionnelles, il a ensuite été obligé de passer le relais à Pierre Tabourier.

 

Pour conclure, redonnons la parole à Gilbert Lazare pour la description de  cette maison:

“ Plus réduite que sa voisine, cette construction, qui est techniquement complètement indépendante de l’autre, est performante par son rapport nombre de pièces/surface totale .En effet elle renferme 4 chambres à l’étage et à rez de chaussée : cuisine, bureau, séjour, salle à manger et garage communiquant avec la cuisine, le tout sur sous-sol.

Dès l’entrée centrale, nous apercevons par transparence du séjour le jardin bien ensoleillé. A gauche une parfaite cuisine précède le garage intégré dans le volume bas de la construction, à droite un bureau agréable donne sur la rue, au fond côté du jardin et doté d’une avancée, nous arrivons dans le séjour agrémenté d’une cheminée murale et, pratiquement en alcôve, nous découvrons la salle à manger .Retour dans l’entrée où un escalier bois mène à l’étage où nous arrivons sur un palier mezzanine avec vue sur l’entrée .Ce palier dessert les 4 chambres (2 de chaque côté) complété par une salle de bains, une salle d’eau et un toilette séparé. Ces pièces sont aménagées dans un étage franc. ” En terminant la visite, jetons un coup d’œil au sous-sol qui comporte un débarras, une buanderie et une cave. Au total, nous sommes surpris, là, par la rationalité de cette maison sous son aspect sage. » 

 

La maison du n° 3bis

 

La question des origines et de l'achat du terrain par notre ami Jean-Pierre Aubert a été évoquée ci-dessus. Mais nous n'avons pas parlé de «l'essentiel », c'est-à-dire de la famille elle-même, et des raisons qui l'ont amenée à choisir de venir habiter notre rue du Colonel Fabien. Pour vous le dire, nous avons demandé à Philippe, 22 ans, de vous l'écrire lui-même, depuis son fauteuil électrique, à l'aide de son ordinateur qu'il commande par son menton :

 

« Tout a commencé depuis plus de dix ans quand nous habitions une petite maison peu accessible pour moi qui suis assis sur un fauteuil roulant. Un jour, en passant dans une rue de Viroflay, notre grand-père a vu qu'un terrain était à vendre et il l'a dit à notre père qui l'a acheté quand il a été mis en vente et au bout d'une dizaine d'années - le temps de concevoir les plans d'une maison totalement accessible pour moi, d'amasser l'argent nécessaire à sa construction et de la construire - nous sommes enfin entrés dans cette maison (Août-Septembre 1997) !

 

Aussi particulière qu'elle soit, cette maison est grande partie l'aboutissement d'une longue réflexion sur la possibilité de vivre, pour moi, avec toute ma famille, tout en étant le plus autonome possible. Cette maison, ce merveilleux projet, a permis, entre autre, à tout mon entourage de dépasser des frontières auparavant insurmontables, comme de me permettre de recevoir des amis aussi bien valides que handicapés chez moi, de faire des soirées sans limite d'horaire puisque ma petite sœur peut même me coucher grâce à un système électrique suspendu au plafond me prenant sous les aisselles.

 

Depuis maintenant quatre ans que nous demeurons dans cette jolie maison, j'aime bien le matin me réveiller tranquillement sur mon lit en écoutant de la musique, rentrer à n'importe quelle heure dans une maison prête à m'accueillir, ou bien passer une soirée avec des convives que j'affectionne tout particulièrement. Enfin, cette maison symbolise, pour moi, ma mobilité qui est, par ailleurs, si souvent réduite et aussi un lieu de passage et d'échange dans lequel je trouve un réconfort et un bien-être.»

 

Philippe

 

Comme nous le dit Philippe, c'est son grand-père, Pierre Aubert, né le 21 Mars 1913, qui nous a quittés subitement le 21 Février 1991, qui découvre le beau terrain en friches, des consorts Besnard, en fin d'année 1989. Vice-président de l'Union Urbaine de Défense et de Protection de l'environnement de Viroflay et Environs, il vient voir son ami André Bassez, devenu depuis le Président de l'U.U.D.P, pour lui parler des possibilités d'achat de celui-ci.

 

Jean-Pierre Aubert, Inspecteur Général de l'Industrie et du Commerce, demeure avec ses deux enfants: Philippe et Marion, âgés respectivement de 11 ans et 8 ans en 1990, ainsi qu'avec Isabelle sa charmante compagne, une maison d'accès incommode au 47 rue du Général Gallieni à Viroflay. Son père n'a aucun mal à le convaincre de se porter candidat à l'achat de ce terrain, dès sa mise en vente par la Société immobilière LUCIA & Cie.

 

Compte tenu d'obligations familiales majeures, il lui faut une grande maison, avec des accès étudiés en fonction des obligations de Philippe, lesquelles amèneront l'architecte, Gilbert Lazare, à utiliser toute la largeur du terrain pour construire les deux maisons. C'est la raison qui provoque la demande de Jean-Pierre au Syndicat de l'Allée des Roses, auprès duquel il sollicite en cas de sinistre, la création d'une discrète sortie de secours, qui ne lui est pas accordée.

 

Pour continuer l'histoire de la maison du 3 bis, nous donnons la parole à Gilbert Lazare qui, comme pour la maison du 3, a bien voulu nous faire la description de son œuvre, ce dont nous le remercions :

 

«Plus vaste que la maison voisine à cause d'un programme différent et amplifié par les contraintes spécifiques d'intégration, dès la création, d'une personne à mobilité réduite devant pouvoir évoluer seule au maximum dans cette construction et avec évolution possible de sa participation au fonctionnement domestique quotidien (mise en route éclairage, fonctionnement volets roulants, ouvertures portes ...).

 

Cette maison comporte un garage intégré au volume de la construction permettant ainsi le transfert aisé et immédiat de la personne à mobilité réduite.

 

Sous son aspect traditionnel de maison «Ile de France» dû en grande partie au respect du Règlement d'Urbanisme du secteur, le volume intérieur a été étudié de façon à, d'une part, rendre la communication aisée et permanente et, d'autre part, à trouver justement des volumes s'écartant du commun.

 

Dès l'entrée, nous sommes en présence d'un rez de chaussée d'une bonne hauteur sous plafond et l'on s'aperçoit que la communication entre les pièces est aisée grâce aux larges portes coulissantes prêtes à être motorisées afin de faciliter leur franchissement. Un coup d'œil au passage dans la cuisine aménagée dans le volume de valeur du rez de chaussée et avec vue sur la rue et sur le jardin arrière grâce à la transparence établie par la mise en communication de celle-ci et de la salle de séjour.

 

Contiguë à la cuisine, la salle à manger magnifiquement éclairée par un éclairage zénithal laissant apparaître le ciel et le pin du n° 5. Sans frontière, nous arrivons dans le séjour : vaste volume avec avancée et vue panoramique sur le jardin ensoleillé, sa cheminée en tôle noire suspendue à la toiture agrémentant le salon, communication avec l'étage par le vide de la mezzanine, le tout dans un esprit de simplicité et donc peint dans le même ton, comme d'ailleurs le reste de la maison.

 

Par un large couloir, nous retrouvons l'accès au garage, les nécessaires toilettes, une chambre contiguë au salon dotée de sa salle d'eau et donnant sur le jardin, une vaste chambre étudiée pour la personne à mobilité réduite et composée d'un coin bureau-travail, d'une zone couchage avec rangement, et en transparence coté rue une vaste salle de douche où tous les appareils sont étudiés pour permettre la toilette de son occupant qui utilise un siège transporteur se déplaçant sur rail, le tout fixé au plafond».

 

Retour vers l'entrée où nous trouvons un escalier accédant à l'étage en partie sans rampants de toiture et où dès l'arrivée, nous avons une vue plongeante à la fois sur l'entrée et sur le séjour. La partie « mezzanine» est à usage de bureau, qui précède une suite parentale avec chambre sur jardin, dressing, toilettes, salle de bains située coté rue. Dès notre retour vers l'escalier pour redescendre, nous rencontrons la dernière chambre de la maison munie de sa salle d'eau .Un discret ascenseur parfait la communication en desservant tous les niveaux.

 

La visite de la maison se termine par un coup d'œil sur le sous-sol comportant débarras, buanderie, cave à vins et cellier. La visite est terminée et nous sommes surpris d'avoir rencontré de tels volumes cachés sous la volumétrie sage de la construction.

 

 

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